Ces petits poissons sont très "collants". Ils nettoient en principe leurs congénaires de toutes races (même les dents des murènes) mais quand ils voient un plongeur ils délaissent leur petite table et viennent sur la plus grande à leur disposition, c'est à dire le plongeur. Là ils vous tirent allègrement les poils des jambes et il est difficile de s'en défaire !

Entre le motu Fatonu (privé comme tous les motu sur lequel nous avons passé quelques heures en solitaires ou presque car il fallait bien un bateau et son pilote pour nous y conduire) et celui d'en face, le passage s'appelle un hoa. L'érosion naturelle et les tempêtes font que l'atoll a tendance à s'éroder, mais en principe ce qui est pris d'un côté est rendu de l'autre.