• A 7 heures, nous débarquons au point presque le plus au sud du continent américain (le cap lui-même étant à quelques centaines de mètres plus au sud) : l'île du Cap Horn - Chili

    Notre navire vu du haut de la falaise

    A 7 heures, nous débarquons au point presque le plus au sud du continent américain (le cap lui-même étant à quelques centaines de mètres plus au sud) : l'île du Cap Horn - Chili

    A 7 heures, nous débarquons au point presque le plus au sud du continent américain (le cap lui-même étant à quelques centaines de mètres plus au sud) : l'île du Cap Horn - Chili

     L'île du Cap Nord est un parc national strictement protégé, seul est autorisé l'accès aux différents monuments et bâtiments en utilisant les passerelles.

    A 7 heures, nous débarquons au point presque le plus au sud du continent américain (le cap lui-même étant à quelques centaines de mètres plus au sud) : l'île du Cap Horn - Chili

    Le phare et les bâtiments annexes comme le logement du gardien et de sa famille. Ce phare n'est ni le " Phare du Bout du Monde" situé près de Ushuaïa en Argentine, ni le phare du Cap Horn lui-même, mais le phare de Punta Espolón : "Faro Monumental Isla Hornos"

    A 7 heures, nous débarquons au point presque le plus au sud du continent américain (le cap lui-même étant à quelques centaines de mètres plus au sud) : l'île du Cap Horn - Chili

    A 7 heures, nous débarquons au point presque le plus au sud du continent américain (le cap lui-même étant à quelques centaines de mètres plus au sud) : l'île du Cap Horn - Chili

    Stèle de l'Amicale Internationale des Capitaines au long cours

    A 7 heures, nous débarquons au point presque le plus au sud du continent américain (le cap lui-même étant à quelques centaines de mètres plus au sud) : l'île du Cap Horn - Chili

    Sur le chemin qui mène au monument deux plaques de marbre soutenues par des structures en béton furent construites. L’une d’elle précise la nature du monument (ci-dessous) et l’autre présente le poème de l’écrivaine de Valparaíso, Sara Vial († 2016)

    Soy el albatros que te espera al final del mundo,

    Soy el alma olvidada de los marineros muertos,

    Que cruzaron el Cabo de Hornos,

    Desde todos los mares de la tierra,

    Pero ellos no murieron en las furiosas olas,

    Hoy vuelan en mis alas,

    Hacia la eternidad,

    En la última grieta de los vientos antárticos.

    « Je suis l’albatros qui t’attend au bout du monde. Je suis l’âme oubliée des marins morts qui traversèrent le Cap Horn depuis toutes les mers de la terre. Mais ils ne sont pas morts sur les vagues furieuses, ils volent aujourd’hui sur mes ailes, vers l’éternité, dans la dernière crevasse des vents antarctiques »

    A 7 heures, nous débarquons au point presque le plus au sud du continent américain (le cap lui-même étant à quelques centaines de mètres plus au sud) : l'île du Cap Horn - Chili

    A 7 heures, nous débarquons au point presque le plus au sud du continent américain (le cap lui-même étant à quelques centaines de mètres plus au sud) : l'île du Cap Horn - Chili

    « 6 heures, le réveil a sonné, le navire est à l'arrêt. 6 h 30 nous sommes sur le pont, et devant nous : Isla Hornos ! - Patagonie - Chili Panoramas vus depuis le Monument de l'île du Cap Horn - Chili »

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