3 Mars 2017
Après des dizaines de grenouilles rousses dont les pontes étaient très nombreuses (au moins une trentaine), et qui, au fur et à mesure qu'éclosent les têtards, la matière gélatineuse de l'enveloppe des œufs se délitant, bouchent mes filtres, c'est au tour d'une trentaine de crapauds, dont une demi-douzaine de femelles, à avoir investi les lieux.
Une partie de mon "cheptel" de poissons dont certains ont des noms (ben oui !), en particulier le blanc avec une tache noire, un shubunkin, une femelle que nous avions appelé "le clown" avant de savoir que c'était une femelle et qu'elle ne devienne, avec l'âge, presque entièrement blanche.
Catinou et Jacouti (voir ici)
Une femelle en train de pondre, on remarque des œufs encore blancs, en train de se féconder, même processus que pour les grenouilles (voir ici)